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Capital Koala permet aux familles d’épargner pour leurs enfants grâce à leurs achats

Interview de Jean-Yves BERNARD, Cofondateur de Capital Koala.
Comment allez-vous et comment va votre famille en ces temps de COVID-19 ?
Jean-Yves BERNARD : Tout va bien ! Le premier confinement a été vécu comme une expérience humaine et sociétale puissante. Le second un peu moins.
Parlez-nous de vous, de votre carrière et de la manière dont vous avez créé ou rejoint Capital Koala.
Jean-Yves BERNARD : Nous avons cofondé Capital Koala avec Alexandre en 2010, cela fait donc déjà 10 ans ! Nous entrons dans une nouvelle ère, celle à laquelle nous n’avions pas beaucoup réfléchi au moment des premiers business plans. Un nouvel état d’esprit, moins fougueux, pas moins frais, plus détendu car Capital Koala est lancé sur de bons rails. C’est passionnant de réfléchir aux 10 prochaines années non plus sous l’angle de « est-ce que ça va marcher » mais : « comment continuer à innover pour durer ? ».
Avant Koala, j’ai travaillé dans la publicité sur le web, et en parallèle j’ai lancé des activités e-commerce de box par abonnements (notamment Le Vinyle Club dont j’ai revendu mes parts en 2018).
Comment Capital Koala innove-t-elle?
Jean-Yves BERNARD : Nous permettons aux familles d’épargner pour leurs enfants grâce à leurs achats. Concrètement nous vous remboursons en moyenne 5% du montant de vos achats, chez 2200 partenaires e-commerçants et magasins « physiques ».
Nous sommes le 1er site en France (et le 2e en Europe) à utiliser le mécanisme de l’affiliation (cashback) pour en faire de l’épargne pour les enfants. Cette proposition de valeur nous permet de convaincre énormément de grandes enseignes de nous rejoindre, même celles qui sont habituellement réticentes à faire du « cashback ».
L’innovation Koala est accessible à tous car ancrée dans la tradition française de l’épargne-enfant, et fondée sur la solidarité familiale : épargnez à plusieurs en invitant vos proches à rejoindre votre « KOAlition familiale ». Ainsi les achats des grands-parents, parrain et marraine, rapportent aussi de l’épargne à vos enfants.
Comment la pandémie COVID-19 a-t-elle affecté Capital Koala et comment gérez-vous cette crise?
Jean-Yves BERNARD : Nous avons lancé les partenariats avec les magasins « physiques » en 2019, cela représente donc encore une faible part de l’ensemble des commissions que nous reversent les commerçants (nous sommes rémunérés à chaque achat effectué par nos membres). Mais le online a aussi été affecté par la Covid car les voyagistes représentent une part importante de notre CA, qui a été fortement réduite. Même si nous avons beaucoup moins souffert que d’autres secteurs, nous avons dû réduire nos coûts de structure pour absorber la baisse de CA en 2020 et se préparer à une année 2021 encore incertaine.
Avez-vous dû faire des choix difficiles et quelles sont les leçons apprises?
Jean-Yves BERNARD : Cette crise nous a imposé des décisions difficiles pour réduire les coûts (rupture conventionnelle avec l’un de nos employés), mais elle a permis une réorganisation qui nous permet d’envisager l’avenir avec plus de souplesse. Nous avons modernisé notre approche commerciale avec les commerçants partenaires et les plateformes d’affiliation (moins de gré à gré, plus « data driven ») pour gagner du temps et donc de l’efficacité.
Comment gérez-vous le stress et l’anxiété pendant cette période et comment vous projetez-vous, vous et Capital Koala dans le futur?
Jean-Yves BERNARD : Nous échangeons beaucoup et sommes transparents avec nos employés. Nous savons que nous avons de la chance d’être dans un secteur qui souffre moins que d’autres.
Nous sommes prêts pour les 3 prochaines années, grâce à notre réorganisation et la mise à jour de notre site et appli mobile.
Qui sont vos concurrents et comment comptez-vous tirer votre épingle du jeu ?
Jean-Yves BERNARD : Nous n’avons pas de concurrents directs, mais si l’on considère les autres sites de cashback (Igraal, Joko, …) comme une concurrence indirecte, alors notre positionnement sur l’épargne enfant nous permet d’être tirés à quatre épingles 😉
Un mot de la fin ?
Jean-Yves BERNARD : Vu le jeu de mots dans ma réponse précédente, je crois que je vais m’abstenir d’un mot de la fin !
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